Et le CO2 ?


D’après les institutions-qui-font autorité, le dioxyde de carbone (CO2) émis par les activités industrielles humaines est la cause principale des désordres climatiques que nous vivons.

Voici quelques arguments qui remettent en question cette affirmation :

  1. Les mesures indiquent que l’évolution du taux de CO2 suit dans le temps celle de la température. Autrement dit, si il y a bien corrélation entre ces deux grandeurs, le lien de causalité est l’inverse de celui affirmé par le GIEC : c’est la variation de température qui est la cause de la variation du taux de CO2.
    Le mécanisme qui explique ce lien de causalité est le suivant : lorsque les océans se réchauffent, la solubilité du CO2 dans l’eau diminue. Cela conduit les océans à relâcher plus de CO2 dans l’atmosphère.
    (plus d’info ci-après).
  2. Il est important de savoir que les principes directeurs du GIEC tels qu’énoncés en 1998 posent comme postulat que le changement climatique est induit par les humains. En effet, le point 2. de ce document précise (ma traduction) :

    « Le rôle du GIEC est d’évaluer, sur une base englobante, objective, ouverte et transparente, les informations scientifiques, techniques et socio-économiques pertinentes pour comprendre les bases scientifiques du risque de changement climatique induit par l’homme,[…] »

    source : https://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/2018/09/ipcc-principles.pdf

    (« The role of the IPCC is to assess on a comprehensive, objective, open and transparent basis the scientific, technical and socio-economic information relevant to understanding the scientific basis of risk of human-induced climate change,[…] »)

    Autrement dit, la responsabilité humaine étant inscrite dans les principes, on voit mal comment le GIEC pourrait donner de la visibilité aux études qui tendraient à montrer que la responsabilité humaine est négligeable voire inexistante par rapport à des processus indépendants de l’activité humaine.
    On comprend alors mieux pourquoi :
  3. Le GIEC ignore les études qui montrent que les océans se réchauffent par le fond et que les glaciers du Groenland et de l’Antarctique fondent par le dessous et dans des zones d’activités magmatiques particulièrement intenses. (biais de confirmation)
    Le GIEC ne mentionne jamais les déplacements des pôles magnétiques ni l’éventualité que la Terre soit entrée dans une phase d’excursion géomagnétique, alors que c’est un facteur déterminant pour la compréhension de l’évolution climatique ;
  4. Le GIEC élude l’intensification de l’activité sismique, intensification difficilement explicable par l’accroissement du taux de CO2.
  5. Le GIEC n’évoque pas les changements observés sur d’autres planètes de notre système solaire, changements qui ne peuvent évidemment pas être attribués aux émissions industrielles humaines.

Les points 3, 4 et 5 caractérisent un biais de confirmation, biais imposé par le principe énoncé en 2.
(Pour plus d’informations concernant les phénomènes mentionnés dans ces points, se reporter à la section Phénomènes observés).

L’augmentation de température précède celle du taux de CO2

Ce constat n’est pas nouveau mais a une fois encore était confirmé par une analyse de mai 2024 basée sur les mesures de températures et de taux de CO2 depuis 1959 (The Sea Surface Temperature Ruleswebpdf).

En outre, dans son article Alternative explicative…, TES expose plusieurs observations qui mettent en évidence cette relation de cause à effet (cf. « Observations » de 1 à 10).

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